Voulez-vous vivre une expérience sensationnelle, unique, à couper le souffle ? Le saut à l’élastique est sans doute ce qu’il vous faut. Vous aurez d’innombrables occasions pour le faire lors de vos séjours en France. Eh oui, il s’agit de monter en hauteur, de respirer un grand coup, de se préparer, puis de sauter dans le vide. Cela vous fera vivre une incroyable montée d’adrénaline en quelques instants. À présent, sachez davantage sur le saut à l’élastique.
Généralité du saut à l’élastique
Le saut à l’élastique, aussi appelé benji ou benjy en France, ou encore bungee jumping ou góming, désigne une activité ludique, effectuée en plein air. Cela consiste à vous jeter dans le vide, avec seulement une corde élastique accrochée au torse, ou aux chevilles. Le but de l’utilisation de l’élastique est de ralentir puis de stopper la chute. Vous pouvez vous référer au saut à l’élastique près de Paris pour avoir une meilleure approche de cette activité.
En effet, le but recherché dans le saut à l’élastique est d’avoir des sensations fortes, c’est-à-dire des air times apportés par la chute libre, qui sont amplifiés par des remontées et oscillations successives. Suivez l’actualité du Saut a l’élastique en France pour connaître les dernières nouvelles du benjy. Aussi, les pratiquants du saut à l’élastique tentent d’expérimenter les effets du vertige dû à la hauteur. Évidemment, le saut à l’élastique ne peut être considéré comme un sport normal parce qu’il ne nécessite aucun entraînement physique, ni de technique particulière, sauf pour les sauts plus perfectionnés, que seules certaines personnes ayant une meilleure condition physique peuvent faire.
Origine du saut à l’élastique
Autrefois, le saut à l’élastique n’est autre qu’un rite initiatique ancien, qui était pratiqué au cœur du Pacifique, dans une zone actuellement connue sous le terme Vanuatu. Au cours du séance, les courageux sauteurs se jettent dans le vide, depuis le haut d’une tour de bambous, qui était d’environ 25 mètres, avec les chevilles liées par des lianes. En faisant cet acte, les anciens considèrent que les participants viennent de s’accéder à l’âge adulte.
À une certaine époque plus récente, notamment dans les années trente, l’aristocratie londonienne jouait à sauter des petits ponts, sur la Tamise, tout en étant accroché à des bandes de latex. Cela semble amusant, mais, cela demeure être une origine du saut à l’élastique. Tout au long des années entre 1980 et 2000, le Néo-Zélandais, Alan John Hackett, s’inspire de l’activité ancestrale du Vanuatu. Il s’est taché à créer, en utilisant une formule mathématique développée, un cordon élastique extensible. Cette matière, qui avait la caractéristique d’être écologique et recyclable, provient de la sève de l’hévéa, c’est-à-dire, un arbre originaire de la forêt amazonienne, dont la culture a été répandue dans toutes les régions tropicales.
En 1987, il tente le saut en France. Depuis le pont de la Caille, d’une hauteur de 147 mètres. Puis, le 26 juin, il n’hésita pas de faire son célèbre saut du haut de la Tour Eiffel, à Paris. Malgré un bref emprisonnement en raison de l’illégalité, il a popularisé le saut à l’élastique.
Caractéristiques des élastiques utilisés dans le benjy
Les élastiques utilisés dans le saut à l’élastique sont formés par un ensemble de fils souples en latex. Ils sont réunis ensemble de façon parallèle, dans une gaine en tissu. Ils sont fermement resserrés, tout en étant ficelés, en respectant un intervalle régulier.
À titre d’information, un élastique utilisé dans le saut peut durer jusqu’à environ 1 500 séances. Cependant, la pratique exige qu’il doive être remplacé au bout de 150 sauts. Souvent, il est confectionné manuellement, mais les brins sont tendus mécaniquement.